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NE SONT PLUS AU CATALOGUE arrow Le logis du Pin ? Quelle épopée pour 60000 aventuriers !
Le lac des féesLe Madiol des Demoiselles

Le logis du Pin ? Quelle épopée pour 60000 aventuriers !

RAYMOND JARDIN ET COLLECTIF /En 1950, le Conseil Général du Var jeta une poignée de pièces d'or dans l'arabesque dessinée par l'explosion de la fusée. Ce fut l'acquisition de ce qui fut appelé "Logis du Pin", deux, puis quatre, puis sept camps prospérèren

( Jardin Raymond )
€15.00

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ISBN 2-84750-235-1- 200 pages/Format 21x30.
Se pencher sur l'histoire des camps et colonies de vacances laïques varois du Logis du Pin c'est, en fait, revivre une épopée semblable à un feu d'artifice. En 1934, une fusée s'est élancée dans le ciel. Les artilleurs en étaient René Tesseire épaulé en 1937 par Victor Pastorello. La fusée ne fut, en bout d'élan, très haut dans le ciel qu'une étoile parmi les étoiles : c'était le premier camp. L'explosion qui suivit peupla le ciel, au cours des ans, voire des décennies, d'une immense et merveilleuse rosace dont chaque rayon enrichissait l'ensemble d'une activité nouvelle. En 1950, le Conseil Général du Var jeta une poignée de pièces d'or dans l'arabesque dessinée par l'explosion de la fusée. Ce fut l'acquisition de ce qui fut appelé "Logis du Pin", deux, puis quatre, puis sept camps prospérèrent. Des équipes d'encadrement presque toutes issues des Ecoles Normales de Draguignan et formées par les CEMEA naquirent comme champignons après la pluie d'automne et assurèrent un encadrement parfait aux différents camps. Reconnaissons toutefois que la pédagogie des Eclaireurs de France nous aida beaucoup à démarrer nos activités. Les mentalités furent aussi impressionnées par les techniques Freinet. Petit à petit naquirent des camps extérieurs au Logis du Pin, certains proches de la Maison-mère, d'autres auprès de la mer, d'autres encore s'en allèrent jusque dans les forêts des Vosges ou du Jura, d'autres encore dans les Alpes de Haute Provence ou dans les Pyrénées ; voire dans le Massif Central et le Périgord. Vinrent ensuite les camps de pré-ados, puis les camps d'ados. Enfin la panoplie fut complétée par la construction d'une implantation en dur, "Les Chardons Bleus", destinée au moins de huit ans interdits de camps par la loi.









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